30 juin 2007
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13:21
Migraine.
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Toi, musique endiablée dans ma tête,
Cesse ton rythme par pitié.
Je ne suis plus maître de mon esprit,
Car un marteau rit.
J’ai beau hurler, pleurer et prier,
Rien ne cesse ton grondement insensé.
L’impression que mon cerveau,
Est manipulé par le Chaos.
Enfonçant ces griffes constamment,
M’obligeant d’être dans le noir.
Je plonge dans cet abîme handicapant,
Paralysée par le désespoir.
Pour m’arracher de cette nuit,
Serait de mettre fin à ma vie.
Et que mon âme glisse doucement,
Hors de cet enfer, couleur sang.
« Oh ! Merci père ! De ton geste.
Le jour où ma tête a heurté le sol.
Depuis j’essaye d’oublier le passé.
Mais, Oh ! Comme tu as réussi, père.
Car chaque jour, à chaque migraine, à chaque douleur, ne cesse de grandir en moi une haine vis-à-vis de toi. Toi qui depuis longtemps m’a oubliée, Père ! »
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Toi, musique endiablée dans ma tête,
Cesse ton rythme par pitié.
Je ne suis plus maître de mon esprit,
Car un marteau rit.
J’ai beau hurler, pleurer et prier,
Rien ne cesse ton grondement insensé.
L’impression que mon cerveau,
Est manipulé par le Chaos.
Enfonçant ces griffes constamment,
M’obligeant d’être dans le noir.
Je plonge dans cet abîme handicapant,
Paralysée par le désespoir.
Pour m’arracher de cette nuit,
Serait de mettre fin à ma vie.
Et que mon âme glisse doucement,
Hors de cet enfer, couleur sang.
« Oh ! Merci père ! De ton geste.
Le jour où ma tête a heurté le sol.
Depuis j’essaye d’oublier le passé.
Mais, Oh ! Comme tu as réussi, père.
Car chaque jour, à chaque migraine, à chaque douleur, ne cesse de grandir en moi une haine vis-à-vis de toi. Toi qui depuis longtemps m’a oubliée, Père ! »